Selon la Convention internationale des droits de l’enfant (1989) : « Les Etats parties reconnaissent le droit de tout enfant à un niveau de vie suffisant pour permettre son développement physique, mental, spirituel, moral et social. » (article 27)
C’est sur cette base que nous pouvons constater l’écart entre la réalité et l’ambition de cet article…
Le constat est alarmant : 3 millions d’enfants touchés par la pauvreté en France, 30 000 sont sans domicile fixe et ne mangent pas 3 repas par jour (Source Nations Unies 2015, INSEE 2013, EU-SILC 2009). Quant aux chiffres des pays du tiers monde…
Nous souhaitons donc lutter contre ces situations inacceptables dont les enfants sont les premières victimes au sein de la cellule familiale. Dès lors qu’une famille est en précarité, les enfants voient leurs chances de bénéficier d’une stabilité affective et éducative moindre. Ceci ayant comme conséquence une installation durable dans la précarité : fins de mois difficiles pour la famille, une alimentation déséquilibrée, un logement souvent précaire et l’accès aux loisirs difficile. Trop d’obstacles pour d’entrevoir un avenir heureux.
Aussi POEM, s’engage, une action après l’autre nous avançons, pour qu’au final un enfant puisse retrouver la voie du sourire.
Pour ces enfants l’accès à l’éducation, aux loisirs, à l’évasion quotidienne est difficile à concevoir.
Nous recherchons toutes les actions possibles que nous pourrions mettre en place pour les accompagner vers le chemin d’une vie meilleure. Nous soutenons donc sur des associations pour les appuyer dans leurs actions. Dès que cela est possible nous engageons une action directe avec les établissements d’accueil dans lesquels ces enfants évoluent.
Notre objectif étant d’aider les professionnels au contact des enfants à perpétrer une relation bienveillante afin de permettre aux enfants de s’épanouir. C’est aussi donner à ces enfants plus de forces et de chances pour une meilleure socialisation et donc d’une autonomie facilitée.